L’actualité de ces dernières semaines nous fait encore prendre conscience que les êtres vivants ne sont pas à l’abri d’évènements pour lesquels ils n’ont, soit jamais envisagé l’existence, soit aucune préparation, soit une incapacité à agir.
La lutte contre les incendies qui ont dévasté l’Australie, mais avant elle, la Californie, le Portugal, la Grèce, l’Espagne, le Brésil… lourde en coûts humain et économique , s’avère difficile voire impossible dans certains cas. Et les conséquences écologiques qui s’en suivent nécessiteront des décennies avant d’être oubliées.
L’usine Lubrizol qui a empoisonné l’air, l’eau, la terre et concerné des centaines de milliers de citoyens, n’aurait peut-être pas brûlé si les mises en garde avaient été entendues et les mesures prises.
L’épidémie à coronavirus n’aurait peut-être pas pris l’ampleur qu’elle connaît si les autorités chinoises avaient écouté les lanceurs d’alerte et pris la mesure de la menace.
Il y a toujours eu des épidémies, des catastrophes naturelles, mais elles se sont dimensionnées à l’échelle de la planète, et c’est une des raisons pour lesquelles la gestion du risque devient un enjeu majeur.
Etudier, analyser, échanger les informations est une nécessité pour mettre en place de stratégies adaptées à toutes ce situations de danger pour les êtres vivants et le terre, quand elles ne peuvent être évitées.
« La planète terre est notre île partagée, unissons nos forces pour la protéger » Ban Ki-moon.