Eté 2023, le Canada est en proie à de violents incendies qui ont déjà ravagé 16 millions d’hectares. Cette superficie correspond à l’ensemble de la forêt française en métropole, on a du mal à imaginer un désastre pareil. Des populations entières évacuées, une économie paralysée et un impact économique qui va être dur à supporter… mais également un désastre écologique avec des fumées qui ont traversé l’océan pour atteindre l’Europe et au premier plan la France.
Ces fumées restent hautes et sans danger mais le sujet de la qualité de l’air revient dans l’actualité.
Comme dans toutes les situations de crise, des idées éclosent, des projets se forment, des améliorations se mettent en place. Nous souhaitons donc que de tout cela naissent une prise de conscience et une amélioration de la qualité de l’air.
Un premier indice de cette transformation est l’évolution de GoogleMaps® qui propose maintenant sur ses cartes un affichage de la qualité de l’air. Pour la France, c’est l’Indice Européen qui a été retenu, c’est à dire les particules fines, l’ozone (O3), le dioxyde d’azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2) et le monoxyde de carbone (CO).
Gageons que ce premier pas va se généraliser et que la qualité de l’air devienne une préoccupation quotidienne de nos concitoyens.

Le 14 septembre à midi aura lieu un webinaire avec ATMO , le 12e du cycle, inscrivez-vous vite ici

Le 19 octobre, réservez déjà votre matinée, nous aurons également le plaisir de vous accueillir à la 13ème matinale du collège interdisciplinaire SEIQA qui traitera des changements climatiques et allergies : “paroles de médecins et de patients”